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Daisy A. Dursley - "Encore un prénom de Fleur !"

@ Daisy A. Dursley

Daisy A. Dursley
Messages : 2
Date d'inscription : 10/02/2024
#
Sam 10 Fév - 20:22

Daisy Amelia Dursley


encore un prénom de fleur ?


Fiche d'identité

NOM & PRENOM(S)  Daisy Amelia Dursley. SURNOM  Sa famille l'appelle affectueusement "Didi" sauf devant la mamie Pétunia, car ça ressemble à "Lily". DATE DE NAISSANCE (âge) 12 mars 2025 (15 ans) LIEU DE NAISSANCE Londres, dans la partie moldue. SCOLARITÉ 5 ème année chez les Serdaigle. STATUT DE SANG Sang-mêlé. ORIENTATION SEXUELLE & GENRE Se définit comme elle, cigenre et hétérosexuelle. OPTIONS Membre du club de chorale - accompagne souvent à la flûte.



LA PARTIE SORCIER

BAGUETTE Bois de charme, crin de licorne, 26,7 cm, relativement souple.
PATRONUS Un canard. Qui symbolise la famille, la fidélité et la fertilité.
MIROIR DE RISÈD Vivre une très belle histoire d’amour, ou parfois en romancière de love story à succès.
ÉPOUVANTARD De ne plus se souvenir, d’oublier les gens qu’elle aime, car elle a vu pendant des années Pétunia perdre la tête à cause de sa maladie
AMORTENTIA Les fleurs sauvages - l’arôme du thé aux fruits rouges  -  l’odeur de la mer
COMPÉTENCES L’Échomancie. Joue divinement bien de la flûte traversière


FAMILLE

DURSLEY
➥ Pétunia née Evans & Vernon Dursley (arrière- grands-parents) Morts
➥ Dudley Dursley & Susan Dursley née Bones  (grands-parents)  
➥ Dustin Dursley &  Ava Wilson  (ses parents les moldus)  

EVANS
➥ Lily Potter née Evans  (arrière- grande-tante)

POTTER
➥ Harry Potter (grand-cousin germain)
➥ Fred Potter  (grand-cousin germain)

➥ Hannah Londubat née Abbot  (marraine)



La partie psychologique

Ce qui caractérise vraiment Daisy est sa patience, sûrement un trait de caractère qui vient de sa lignée maternelle, les Bones. Elle a appris très tôt à écouter les gens et à les aider. De nature discrète, elle préfère largement sa propre compagnie que celle des autres, se perdant dans ses rêveries et dans ses notes de poésie. Bien que solitaire, elle ne rejette pas non plus le contact, elle est douce et affectueuse, ses mots sont choisis avec élégance et d’un ton calme.

Daisy ne veut pas déranger, elle ne veut pas poser de problème et préfère simplement vivre sa vie comme elle le souhaiterait. C’est une grande romantique qui rêve de vivre une belle romance, car elle idéalise l’amour de ses grands-parents qui lui semble être un but dans la vie à atteindre. Du coup, elle est exigeante et ne vit de rien, elle rêve en se perdant dans les romances de ses livres, des fanfictions et de films que de réaliser que, parfois, dans la vie, on doit passer par des embûches pour atteindre le but. Daisy a sincèrement peur d’être déçue.

Daisy peut aller facilement au jugement avec un petit air dédaigneux, sûrement un trait de caractère qui vient de sa lignée paternelle, les Dursley. Elle aime le beau, l’esthétiquement beau, et tout ce qui brille n’est pas forcément de l’or n’est pas un adage qu’elle oublie souvent. Daisy n’aime pas la médiocrité, la vulgarité ce qui la rend superficielle et voir même arrogante.

Ses goûts : Amoureuse de l’art, de la beauté et de l’aesthetic en toute chose, Daisy s’efforce d’être une poésie à elle toute seule. Elle aime la sérénité, le calme, la pluie tout comme un soleil d’été. La douce musique classique, le son d’un instrument et sans oublier sa flûte traversière. Il ne faut pas oublier que Daisy a été élevé par Dustin qui a été élevé par Dudley. Les mangas, les comics, les films avengers font partie de son quotidien

Daisy n’aime pas beaucoup les gens, elle les juge dès le premier regard donc pour elle, la première impression compte énormément.

JOUEUR

pseudo/prénom ○ Ciel âge ○ 31 ans. pays/région ○ Pariiiis. présence ○ tous les jours. comment as-tu connu EF ○ sur le didi et j'ai eu l'accord de faire le forum. scénario/pré-lien/inventé ○ Inventé faceclaim ○ Samantha Cormier. crédits ○ de l'avatar/gif/image  dernier mot d'amour ○ love love.

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@ Daisy A. Dursley

Daisy A. Dursley
Messages : 2
Date d'inscription : 10/02/2024
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Jeu 7 Mar - 12:58




L'HISTOIRE


petite phrase courte


BIOGRAPHIE


TW : maladie alzheimer, crise cardiaque.

JUILLET 1997 : Une mission d’un an qui va durer très longtemps.

Avant de commencer l’histoire, il nous faut remonter le temps où les Dursley ont dû déménager du 4 Privet Drive vers une cachette désignée par l’Ordre du Phoenix. La mission ne s’était pas arrêtée là, afin de garantir une protection maximale, ils ont désigné Susan Bones pour surveiller les arrières d’un Dudley dépressif. Pendant toute une année entière, Susan devait supporter les Dursley mais contre toute attente, Dudley et elle se sont bien entendus. Lui qui s’était enfermé dans un mutisme plongé dans des remords s’est trouvé une oreille attentive à ses problèmes, à ses doutes et quand à Susan elle a trouvé en Dudley une personnalité touchante -si, si, vous avez bien lu- et il lui a fait connaître la culture musique, films, animés et jeux vidéo moldus.
L’adolescente ne se doutait pas que la mission qui devait durer seulement de quelques mois allait être une mission qui allait durer quarante-huit ans de sa vie. Et ça même Vernon ne l’avait pas vu venir. Que se passe-t-il souvent quand deux adolescents vivent sous le même toit, obligés de se côtoyer, de se confier ? Ils tombent amoureux, et eux, ils n'ont pas fait d’exception. Ils ont pris leur précaution pour leur première fois, et pourtant, il a fallu d’une première fois, d’une capote mal mise pour que ça passe comme une lettre à la poste.

Et en ce mois de décembre, Susan Bones, 17 ans, est tombée enceinte.

Susan s’est rendue tardivement de cet incident prenant son état général pour de la fatigue liée au stress à cause de la guerre des sorciers dont elle ne pouvait pas participer et de savoir si Hannah, sa meilleure amie, était toujours en vie. Ce sont les nausées matinales et un évanouissement dans le couloir que Dudley avait un sacré doute et qu’il a essayé de nier au plus profond de son être. Ne voulant pas que ses parents le sachent, il avait amené Susan dans l'hôpital le plus proche en prenant la voiture de son père, il conduisait avec l’aide de ses connaissances : approximativement et sans permis.  Deux heures passèrent mais  il avait l’impression qu’une éternité s’était écoulée quand une infirmière venait le chercher dans la salle d’attente.
Mr Dursley ?

- C’est moi… Elle va bien ? Dit-il en se levant rapidement.
- Oui. Elle est juste surmenée, le bébé va bien aussi, dit-elle un peu sèchement et agacée qu’il ne donne pas des nouvelles du bébé, mais il faut absolument que votre petite-amie ne soit pas en stress ce n’est pas bon pour elle comme pour le bé..
- Bé ? … Bébé ? Elle est enceinte ?!
- Oh. Hm. Oui de trois mois. Je pensais que vous le saviez…
- J’avais quand même un tout petit doute mais je..… Je peux la voir ?
- Oui, mais pas longtemps, elle a besoin de repos.

Ils étaient foutus. Susan était foutue, elle n’a plus de parents, sa tante est décédée il y a deux ans et ne pouvait compter que sur Dudley. Ce dernier, bien que sa connaissance moldue paraissait pour Susan son seul et unique source de référence, il était aussi larguer qu’elle. Ils n'avaient que dix-sept ans, il serait mort étripé et Vernon serait capable de la foutre dehors. Dudley serait là pour elle, il n’allait plus fuir, il allait assumer.
On a que 17 ans… on est encore très jeune…. Qu’importe ton choix, je serais là pour toi. Il lui prit la main pour la serrer contre la sienne, bien qu’il tremblait.
Merci beaucoup, ça me touche énormément, dit-elle en sanglotant et essuyant ses larmes qui n'arrêtaient pas de couler. Je ne suis sûre de rien mais ils m’ont fait une …démographie.
Échographie. Corrige-t-il par automatisme et qu’il tente de cacher ses émotions.
échographie. Il bougeait et j’ai entendu son cœur… je peux pas…
Il ?
C’est un garçon.
Dudley se met à pleurer comme un bébé. Un bébé terrifié mais tellement heureux.
L’annonce aux parents Dursley était une autre partie de manche. Pétunia avait sangloté de tout son corps en se disant des « ce que vont dire les gens ? » et des « vous êtes si jeunes. Et s’il devient un monstre ?… » Vernon avait hurlé comme jamais auparavant et avait cassé de la vaisselle comme si ça pouvait résoudre “le problème”. Sous les supplications de Pétunia de ne pas jeter son fils dehors, cela n’avait rien changé, il l’avait poussé hors de son chemin, prêt à lever la main sur Susan.
TU L’AS FAIT EXPRÈS , HEIN ?  TU ES VENUE POUR FOUTTRE LA MERDE DANS CETTE FAMILLE ?
Mais non !! J’aime Dudley !
TU DÉGAGES DE MA MAISON TOI ET TON MONSTRE À NAÎTRE !
Pour une fois de sa vie, Dudley s’était dressé contre son père quand il voulu s’en prendre à Susan, il s’est mis devant Susan pour la protéger et donna un coup de poing sur le visage de Vernon de toute ses forces, comme si toute la frustration et la colère accumulées au fil des années étaient ressorties. L’homme tomba à terre, K.O. Cinq minutes plus tard, Dudley et Susan étaient dehors avec une valise dans une main et l’autre main tenant une Susan en pleure. Il était à présent soulagé.




SEPTEMBRE 1998 : Il est né le divin enfant
Les premiers mois, Dudley et Susan ont galéré mais ils ont pu trouver refuge pour un temps chez Hannah bien que Dudley ne se sentait pas à l’aise dans le monde des sorciers -bien qu’il a en a été fasciné- mais il fallait qu’il s’en sort. Il avait abandonné les études pour se lancer à la recherche de petits emplois dans le monde moldu, commencer à faire des démarches administratives et surtout trouver un petit logement. Il n’a plus revu ses parents depuis l’incident, et revenir les voir signerait sa capitulation. Non. Il avait promis à Susan qu’il en assumerait les conséquences.
Sa persévérance à fini par payer en accumulant trois petits boulots de misères mais pas encore assez pour se trouver un logement. Il ne faisait que des allers-retours de chez les parents d’Hannah et sa petite chambre d’hôtel moldue. Trois mois après, Dudley trouvait en habitude dans sa situation précaire, bien qu’il ait abandonné son travail de livreur de journaux, la compagnie de déménageurs était satisfaite de son travail et il s’est fait embaucher à plein temps, gagnant un salaire entier.
Entre-temps, Pétunia est venue dans l’espoir de récupérer son fils dans l’idée qu’il abandonne cette sorcière et l’enfant à naître ou qu’il se marie au plus vite, bien qu’elle préfèrerait qu’il prenne la première option. La réaction de Dudley fit sans appel, il lui a claqué la porte au nez et Susan en fut bouleversé, encore une fois. Pétunia en décide de ne pas en rester là, cette sorcière a volé son fils, il allait le récupérer, il est bien trop jeune pour prendre ce genre de responsabilité.    
S’en suit de longues supplications et au final Dudley et Susan ont fini par céder, ils acceptèrent seulement juste un dîner pour en parler et trouver une solution. Tout s’est relativement bien passé, ils vont les aider un peu et Hannah et Neville pour la partie magie et finalement les tensions s'apaisent… pour un temps.
…Bonjour, Anakin.
… Pardon ? Hors de question de lui donner ce genre de prénom de film ou de bande dessinée
Oh ! S’il te plaît ! Ça fait un peu sorcier,  Anakin.
J’ai dit non. Il peut aussi ne pas être sorcier.
Thor ?
Encore pire !
…. Dustin ?
Elle leva un sourcil, un peu méfiante, mais finalement, elle se dit que c'était un joli prénom à prononcer. Pétunia trouvait que le prénom était trop américain, alors Susan accepta immédiatement. Pour Dudley, c’était une petite victoire, Dustin signifiant “pierre de Thor”, ça lui faisait de son fils un “presque demi-dieu nordique”. Ainsi est né Dustin Neville Dursley.
Susan regardait d’un air doux et bienveillant Dudley prendre son fils dans une tendresse infinie, certes avec un geste un peu maladroit.  
Elle se dit que Dustin est le plus beau épouvantard mais le plus redoutable des patronus pour Dudley.


MARS 2025 : une mort et une naissance en même temps
Dustin a donc grandi auprès de ses parents adolescents, le salaire de déménageur de Dudley avec l’aide des parents il ont pu avoir un appartement dans Londres, il était hors de question qu’ils aillent vivre chez les Dursley. C’était ça, où Susan menace d’emmener son enfant vivre dans une ville totalement magique. Grâce à sa persistance et sa détermination, Dustin a pu grandir convenablement sans grand majeur accident, peut-être que si, à onze ans il a fugué, triste de ne pas aller à Poudlard par rapport au dire de sa mère qui la tant bercé de ses histoires de son enfance. Dustin a été confronté au monde des sorciers en rendant souvent visite à Hannah et Neville dans le chemin de traverse avec ses parents, bien que moldu, pour lui la magie faisait partie de son quotidien.
Passons les années.
Nous sommes au mois de mars 2025, trois évènements majeurs allaient se produire en même temps et dans la même journée. Ava était une jeune femme brune aux yeux clairs du genre pimpante et voluptueuse et du genre superficielle que Susan n’a jamais apprécié et se demanda comment son fils s’est pu s’enticher d’une fille pareille mais elle garda ses pensées pour elle. Dustin est devenu un jeune homme qui vivait jour après jour sans vraiment se préoccuper du futur, ce genre d’homme que rien ne peut atteindre sauf une panne d’internet alors qu’il était en instance avec ses potes en ligne. Deux personnes, deux ambiances différentes en sommes. Comment deux êtres diamétralement opposés ont pu se rencontrer et tomber amoureux ?
Elle était en panne d’essence, Dustin n’écoutant que le lobe frontal de l’instinct du mâle dominant s’est arrêté envoyant la belle créature en mini short comme une actrice tout droit sorti d’une publicité pour voiture. Après deux trois échanges amicaux, trois rendez-vous et c’était bouclé sauf qu’Ava était loin d’être l’ange décrite par Dustin. Femme imbuvable, hysétrique, elle le menait par le bout du nez et quand il la menaçait de partir, elle pleure, se confond en excuse, jusqu’ à la énièmre dispute elle lui annonça qu’elle était enceinte. Naïvement, il a cru à ses belles paroles : “je vais changer, je te le promet, reste !” jusqu’au jour de l’accouchement.
Vernon était anormalement fringuant en cette belle journée du mercredi 12 mars 2025, et personne ne faisait attention à sa toilette particulièrement bien coiffée et prétextant de boucler des derniers dossiers urgents avant son départ à la retraite. Il fila sans qu’il puisse se douter qu’il ne rentrera plus jamais dans leur petite maison de Birmingham et qui, fort heureusement, ne rencontrera jamais son arrière-petite-fille. En effet, le vieux Dursley prenait du beau temps avec sa jeune secrétaire dont il avait promis qu’elle passerait assistante de direction quand il partirait à la retraite mais pour Stacy ses plans vont lamentablement échoués.
Lors d’une soirée arrosée et un énième compliment, Vernon emmène sa jeune amante dans un hôtel chic mais assez discret pour une nuit endiablée. Il avait éteint son portable qui n’arrêtait pas de vibrer depuis une demie-heure. Une dernière coupe de champagne et Vernon passe la moitié de la nuit a profiter du corps de Stacy. Cependant, il ressentit une vive douleur à la poitrine qu’il lui coupa dans son élan de rein, ne retrouvant pas son souffle et pris d’une violente crise cardiaque sous le regard amusé de Stacy qui pensait qu’il blaguait fini par tomber sur elle en l’étouffant à moitié. A l’autre bout de la ville, une petite fille venait montrer son bout de nez.
Dustin était avec sa mère, son père et sa-grand-mère dans la salle d’attente, les parents d’Ava l'ayant rejeté n’a pas pris la peine de se déplacer. Quand ils ont pu avoir l’autorisation de voir le bébé, Ava était déjà sur son téléphone avec une clope à la main en envoyant des snap ou je ne sais quoi d’autres à ses copines sans adresser un regard à l’enfant.
Elle est belle, tu ne trouve pas ?
Hum ?... Ah oui.
C’est tout ce que ça te fais ?
… Oh laisse-moi tranquille, je suis fatiguée !
Choqué par le manque de considération, il va laisser tranquille et s’approcher de sa fille qui dormait paisiblement. L’enfant avait les cheveux aussi roux que sa mamie Susie et Pétunia affiche un visage de terreur avant de sortir en trombe de la chambre, c’était pour elle en deuxième une Lily et elle n’était pas sûre de pouvoir d’en supporter davantage. Dudley posa une main sur l’épaule de son fils ainsi que Susan qui les rejoignait.
Dis moi, fils tu vas l'appeler comment ?
Wanda.
Tu m’avais pas dit Hinata ? Dit Dudley en riant franchement.
Non, Wanda ça lui va bien.  
… Sérieusement, un prénom de dessin animé ? Dit Susan en fronçant les sourcils.
Je rigole Maman… Hum..
Hannah. En deuxième prénom. Dit Susan avec un petit sourire. Hannah m’a beaucoup aidé dans ma vie, tu savais que ton deuxième prénom c’est Neville ?
Sérieux ? Dustin leva les sourcils, surpris.
Dustin prit sa fille dans ses bras jetant un coup d'œil à Ava qui n'avait pas réagi à la conversation. Il pourrait très bien l’appelait tabouret qu’elle s’en rendrait même pas compte. Il soupire doucement avant de dire.
Il lui faut un prénom de fleur. Dit Susan, songeuse.
Oui, tu as raison, souris Dudley. Petunia, Lily… et ma grand-mère s’appelait Violet Evans.
C’est décidé ça sera Daisy Susan Hannah. Affirma avec conviction, Dustin.
Après cet échange émouvant, Pétunia entra dans la chambre en trombe le visage livide et annonça que Vernon était décédé d’une crise cardiaque. Dudley devint aussi pâle qu’un linge et sorti immédiatement suivit de Susan, Dustin resta avec sa grand-mère trop sous le choc.
Le médecin légiste raconta les circonstances de la mort de Vernon à Dudley et… ce dernier grimaça en imaginant la scène et finit par exploser de rire sous le regard surpris du médecin et de Susan. Pris d’un violent fou rire, il a dû sortir prendre l’air et pour finalement pleurer un peu. Un petit peu.
Une semaine plus tard a eu lieu la cérémonie d'enterrement de Vernon, Dudley n’était pas surpris de voir presque personne pour y assister. Sa belle-fille, qui se remettait doucement de l'accouchement, n'y était pas présente et tant mieux. Tous les anciens collègues de Vernon ont décliné l’invitation. Les seuls qui ont accepté de venir était la tante Marge dans son fauteil roulant qui lâcha des grosses larmes de crocodiles trop faux pour que cela soit crédible, accompagné de son compagnon Courtepatt. Dudley ne s’attendait à personne d'autre, mais sa surprise fut grande quand il vit Harry s’approcher.  C’était bien la dernière personne qui pensait à voir pour rendre un dernier “hommage” à son père, à moins qu’il y venu pour y cracher sur la tombe -il le laisserait presque faire.- Il n’avait pas le souvenir de l’avoir invité mais peut-être que Susan l'a fait pour lui.
Pétunia a été bouleversée, faisant mine de ne pas le voir se camouflant son visage dans un mouchoir en soie digne d’une veuve éplorée. Dudley n’avait pas pris conscience qu’il le fixait comme si Harry était un extraterrestre qui descendait de son ovni et le coup de coude discret de Susan le fait revenir à la réalité.
Tu ne vas pas le remercier d’être venu ?
… Je… ne peux pas… il me déteste… il me hait.
Et bien, moi, j’y vais, il faut bien qu’un de nous deux fassent preuve de politesse.
Susie ?
Oui ?
S’il te plaît… Ne lui raconte pas comment il est mort… dit lui juste une crise cardiaque.
… Je ne comptais  pas lui  raconter les détails.
Cette anecdote, il la lui racontera un jour.
Un jour, il ira parler à Harry, un jour.








AOÛT 2030 : 4 Privet Drive & pertes de mémoire
Dustin a encore donné une énième chance à Ava de faire ses preuves. Elle était impliquée pendant les trois premiers mois de Daisy et puis le naturel revient au galop. Perdant patience à un bébé qui ne faisait pas ses nuits, elle se met de plus en plus à lui hurler dessus et puis abandonner l’idée de s’en occuper. Dustin aussi en a eu marre, il part définitivement avec sa fille sous le bras, il ira vivre chez ses parents un temps. Et Ava n’a plus jamais donné signe de vie d’elle et n’a pas cherché à entrer en contact avec sa fille.
Dustin alla donc vivre chez ses parents et avec l’instable Mamie Tunie. Pétunia vivait chez son fils depuis la mort de son mari dans leur appartement à Londres, sauf que la santé mentale de Pétunia commençait doucement à décliner. Au début, elle perdait des affaires, puis oubliait des rendez-vous, des dates importantes, confondait les prénoms. Plus Daisy grandissait, et plus la santé de Pétunia empirait.
Un jour, le diagnostic tombe : Pétunia est atteinte d'alzheimer précoce.
Dudley qui avait conservé l’héritage de Vernon racheta le 4 Privet Drive afin de la mettre dans un endroit qu’elle avait toujours chéri, et ils seront au plus près de Londres en cas de soucis. C’était une solution qui marchait bien, elle était enchantée de retourner vivre dans son ancienne maison. Susan détestait cette maison dès qu’elle a posé les yeux pour la première fois. Elle sentait que cette ville respirait la non-magie, elle la trouvait terne et ennuyeuse, comme les maisons étaient des copiés-collés sans aucune originalité.
Susan avait encore accepté par amour de son mari, et elle s’occupa de Pétunia comme ci c’était sa mère en prenant sur elle les pires crises quand elle l’aidait à se laver.
… Tu es un monstre Lily. Toi et ton ami le scélérat aux cheveux gras.
Susan était d’une patience infinie avec elle, elle avait même de la compassion pour cette vieille dame dont cette maladie moldue cruelle qui rongeait petit à petit son cerveau. Elle a tenté certains sortilèges, des potions, mais la maladie persistait d’être moldue comme tout son organisme …
Daisy était obligée de vivre en compagnie de Mamie Tunie sans vraiment à quoi s'attendre de son comportement déclinant. Les premiers temps, la vieille Dursley était douce avec elle en lui montrant comme planter des fleurs dans le jardin, lui apprenait à cuisiner, et dès fois, elle avait le comportement d’une enfant, d’autres fois elle oubliait carrément son existence. Dustin, Dudley et Susan veillent à ne pas la laisser seule avec Pétunia trop longtemps.
Une nuit, Daisy fut réveillée de son lit par sa mamie Tunie qui lui demanda de s’habiller. Dans les moments awkward comme cela, Daisy à appris à ne pas poser de questions pour ne pas réveiller chez elle une colère inexpliquée, alors elle s’habille doucement en retardant au maximum l’échéance.
Maman a dit que je devais t’amener au parc.
Maman ? Maman est revenue pour la revoir ? Daisy hocha doucement la tête, une fois prête, elle descendit les escaliers en lui tenant la main de sa mamie. Cette dernière l’aida à mettre son petit gilet rouge et ses petites chaussures. Elles allèrent franchir la porte que Dudley s’était réveillé à cause de la lumière allumée dans le couloir, il vit que sa petite fille n’était plus dans sa chambre alors il a dévalé les escaliers pour les trouver au seuil de la porte. Il s’approcha doucement, reconnaissant une de ses crises, il tenta de lui parler doucement.
Maman ? … Tu vas où avec Daisy ?
J’emmène Lily au parc ! Dit-elle comme si c'était une évidence.
Dans les moments comme ça, Dudley a appris avec le temps à rentrer dans “le jeu” pour éviter de la déstabiliser et qu’elle devienne violente envers Daisy.
… Pas aujourd’hui, Tunie… Lily est fatiguée, elle a besoin de dormir. Toi aussi, viens, rentre, nous irons au parc demain, promis.
Susan est descendue aussi doucement pour voir ce qui se passe, Dudley tendit sa main pour récupérer celle de Daisy. Pétunia qui avait les sourcils froncés avait capitulé cette fois-ci. Elle se laisse docilement amener dans sa chambre par Susan. Dans les moments comme ça, il préfère que c’est Susan qui s’en occupe, il trouve que c’est assez dure émotionnellement.  Dudley borde silencieusement sa petite fille, les yeux un peu humides, luttant pour ne pas pleurer. C’est à partir de cette nuit que Pétunia est tous les soirs fermés à double tour dans sa chambre.
Papy ?
Oui, ma puce ?
Qui est Lily ? Demanda Daisy d'une petite voix.
… Personne, mon coeur. Ne t’occupe pas de ça, dort à présent, c’est fini. Tu n’as plus rien à craindre.
Il l’embrassa sur le front et sortit de sa chambre en éteignant les lumières. Seule la veilleuse faisait office de source de lumière. Ce genre d'incident, qui était très rare, allait souvent se reproduire au fil des ans et Daisy avait appris avec l’âge comment “être Lily”.  



MARS 2034 - 2035 : Des visites & un don pour la musique & l’attaque de Londres



Ce que Dudley appelait des crises exceptionnelles sont devenus des crises récurrentes. Il était temps de prendre une décision pour Pétunia afin qu’elle soit en sécurité dans un établissement où elle sera mieux prise en charge et le 4 Privet Drive est redevenu un safe place pour Daisy.
Daisy avait fêté depuis peu son neuvième anniversaire, elle avait aussi depuis un an commencé des cours de musique, la flûte traversière dont elle s’est prise de passion. Comme tous les samedis, elle était obligée de venir rendre visite à mamie Tunie bien qu’elle n’était pas obligée d’accompagner papy Dudley à la promenade mais quand ce dernier était submergé par les émotions, sans un mot, c’est elle qui s’y collait. Un après-midi du 1er novembre, Daisy et Dudley ont eu la conversation la plus triste mais la plus sincère qu’ils aient eue avec elle.
Je peux te confier un secret, Vernon ?
Heu..Oui, bien sûr. Dit Dudley en bégayant
Depuis qu’on a recueilli Harry au seuil de notre porte… Je ne pense pas y arriver …
Je suis sûr qu’il ne prendra pas de place.
Il a les yeux de ma sœur, les mêmes, et je n’arrive pas à le supporter. C’est comme si elle revit à travers lui et je ne peux pas m’empêcher de le haïr.
Daisy a les mêmes yeux verts que Lily et Harry et pourtant tu ne sembles pas la haïr. Dit il d’un ton un peu glacial.
Daisy écoutait patiemment et sans aucun jugement même si elle mourrait d’envie de rentrer et de regarder le dernier épisode de son dessin animé préféré, Pétunia s’était tue semblant réfléchir à qui était Daisy et pourquoi “Vernon” était soudainement froid avec elle. La petite fille profita de ce moment de s’entraîner un peu à jouer de sa flûte traversière qui ne la quitte jamais. Les premières notes se fit entendre, et Pétunia semblait s’apaiser en tout cas, elle la regardait avec intensité. Elle s’arrêta redoutant une énième remontrance et elle dit avec un peu de surprise.
Et bien continue, pourquoi tu t’arrêtes ?
Perplexe, elle continue de jouer et dès qu’elle s'arrêta de jouer, Pétunia redevenait “elle-même”, elle l’ignorait et ou parfois lui lançait un regard mauvais. Daisy avait compris que dès qu’elle jouait, son entourage était un peu plus détendu, heureux et apaisé mais dès qu’elle jouait en se sentant triste, son entourage devenait morose et triste à leur tour. C’est comme ça qu’elle a pu gérer les crises de mamie Tunie.

Dans la soirée, Daisy était assis sagement sur le canapé avec un livre d’image et la télévision en bruit de fond, Dustin travaillait tard et Dudley et Susan se sont lovés l’un contre l’autre en regardant un film sorcier : “Qu’est-ce-qu’on a fait à Merlin ?”  Soudainement un patronus d’un ours vaporeux et bleuté apparaît dans le salon des Dursley, Daisy écarquille les yeux en se sentant étrangement bien et apaisé malgré le message sinistre que sort l’ours de sa bouche, une voix féminine avec une certaine autorité dénuée de douceur : “ Susan. Il y a eu en attaque à Londres et Hannah aura besoin d’aide pour les soins, il y a beaucoup trop de victimes surtout chez les moldus. Je te donnerai les détails au plus vite, transplane-toi vite à l’adresse indiquée. “

Daisy se souvient que ce sort s’appelle “le sortilège de Patronus”, elle lui avait montré à quoi ça pouvait bien ressembler et il était clair qu’un ours était beaucoup plus impressionnant qu’un papillon. Susan se précipita pour s’habiller, chercher sa baguette, suivie d’un Dudley qui essayait de comprendre ce qui passe via les réseaux sociaux sorcier -avec le téléphone de sa femme- et soulève Daisy pour la garder dans ses bras. Elle embrasse sa petite fille sur la joue et son mari sur les lèvres.
Fais attention à toi.
Promis.
Elle transplana. Daisy était inquiète, regarda son papy un peu triste avant de lui afficher un sourire pour la rassurer.
 Allez, il est tard, il est temps de dormir !
Bien qu’il essaya de lui changer les idées, Daisy continuait d’afficher son air triste ce qui n’a pas échappé à Dudley qui posa le livre “les contes de Beedle le Barde” à côté de lui.
 Pourquoi mamie est partie ?
 Elle est juste partie aider et soigner les blessés.
 Il y a eu quoi ?
 Je ne sais pas trop, mais c’est assez grave pour qu’on ait besoin de Mamie.
 Et toi tu n’y va pas ?
 Je ne suis pas un sorcier, donc c’est encore plus dangereux..
 Et moi, je suis une sorcière ?
 Pour avoir été témoin de nombreuses fois à te voir faire traîner ta caisse à jouet jusqu’à ton berceau, pas de doute, tu es aussi forte que mamie ! Il rit. Tu n’as vraiment pas à t'en faire, mamie est coriace, tu peux me croire.
 Comment peux-tu en être si sûr ?
 Elle m’a déjà sauvé la vie plusieurs fois.
 Tu peux me raconter comment tu as rencontré mamie ?
 Elle ne te l’a jamais raconté ?
 Si mais je veux entendre ta version !
C’était, pour elle, l’histoire la plus romantique qu’elle n'ait jamais entendu même si Dudley était un peu plus timide et bref dans sa version. Elle s’endormit sereinement rêvant de vivre à son tour une belle histoire d’amour.

JUILLET 2037 : Un autre enterrement & Déménagement & Les années à Poudlard
Un samedi comme tous les samedis, Daisy traîna un peu le pas, ces derniers temps, Pétunia était particulièrement silencieux et oubliait les existences de Dudley par intermittence. Elle avait déjà oublié l’existence de Susan la prenant pour une infirmière ou parfois l’institutrice primaire de Dudley. Daisy ne savait que ça sera la dernière journée où elle aurait une conversation profonde avec son arrière-grand-mère. Dudley était partie faire des courses et Daisy avait, bizarrement, refusé de l’accompagner, donc elle resta dans cette chambre avec Pétunia qui regardait un dessin animé et un éclair de lucidité émergea pour un petit temps.
…Daisy, change-moi de chaîne, c’est vraiment dégradant pour mon âge. Et quand pourrais-je enfin sortir de cet hôpital ?
Daisy était surprise, elle n’a pas eu le temps d’être choquée qu’elle s'exécuta et mit une chaîne d’informations. On y voyait une  femme qui pleurait la mort de son enfant en exprimant des regrets.
J’en ai aussi des regrets. Je n’ai pas pu lui dire que j’étais désolée et que je l’aimais.
Daisy savait déjà de qui elle parlait, ces discours décousus qu’elle avait dû rassembler dans un petit carnet de note, des photos retrouvées et les quelques informations que mamie Susan a bien voulu lui fournir. Elle avait l’impression que si elle ouvrait la bouche, elle allait perdre cette lucidité.
J’étais effrayée, je le suis toujours, je pense. Je savais contre quoi il combattait et qu’un jour, il aurait pu périr, c’était plus facile pour moi de le haïr et qu’il me haït encore plus en retour, j’en étais satisfaite. Si je l’avais aimé, je n’aurais pas pu supporter sa perte comme j’ai perdu ma sœur. Et pour finalement quoi ?
Elle fit une pause et Daisy l’écouta attentivement.
Toute cette haine n'a servi strictement à rien. J’ai fini par l’aimer beaucoup plus que je l'espérais. Harry était le dernier souvenir de Lily, mais je voyais également son père, pour moi, il est coupable de sa mort… Si Lily n’avait pas connu ce James, elle ne serait peut-être pas morte. J’ai longtemps hésité de lui envoyer une lettre pour m’excuser, de tout lui expliquer, parce qu’il a le droit de savoir. Mais je ne l’ai pas fait.
Pétunia resta un long moment silencieux, plongé dans ses souvenirs, son visage affichait de l’inquiétude, mais également une étrange plénitude et semblait sereine, comme délivré d’un poids qu’elle a toujours voulu enlever.
Il a pris le charme de son père, mais il a aussi pris beaucoup de ma sœur.
Je sais : ses yeux ! Dit Daisy en souriant légèrement.
Pétunia secoua légèrement la tête.
Non. Son sourire.
Puis cette dernière part de lucidité s'éteignit pour toujours, laissant place à une petite fille de six ans qui s’amusa à changer de chaîne jusqu’à ce qu’elle trouve les dessins animés pour enfant. Dudley qui avait écouté derrière la porte n’osa pas rentrer, les yeux humides, il reviendra quelques heures plus tard.


Daisy tenait fermement sa flûte traversière en regardant défiler des gens qui déposaient des fleurs. Elle était partagée dans ses sentiments, elle ne savait si elle avait aimé, si elle la détestait, je pense que c’était pire : elle ne ressentait rien vis-à-vis de Pétunia mais elle était à la fois extrêmement triste d’avoir perdu sa mamie Tunie. Parfois elle adorait jouer avec elle quand sa mamie Tunie pensait avoir entre cinq et six ans, parfois elle la faisait peur quand la mamie Pétunia l’appelait Lily, alors elle n’était qu’une petite fille obéissante qui va jeter une fleur sur la tombe d’une inconnue dont elle était obligé de fréquenter et dont au final elle ne la jamais appris à la connaître.
Dudley a fait un effort, “un jour, j’irais parler à Harry” est enfin arrivé et Daisy sera là pour l’aider, du moins émotionnellement parlant, un enfant peut l’aider à lancer facilement une conversation. Daisy suivait son papi qui s'approchait d’un homme dont elle l’avait jamais vu, c’était le fameux Harry Potter dont sa mère lui racontait souvent ses exploits, surtout le fameux sortilège de Patronus et hélas, dans les discussions décousue de mamie Tunie.
Daisy trouva l’échange entre les deux hommes malaisants et distants, doucement, elle lance une petite conversation.
Mamie Susie m’a dit que tu as appris à lancer un patronus corporel à un jeune âge, c’est vrai ?
Euh… oui, c’est vrai. Répondit Harry en souriant légèrement.
Celui de mamie ce sont des papillons avant c’était une colombe.
C’était un moment bref, mais elle le trouvait aussi sympathique qu’avait dit mamie Susie.
Après l’enterrement, Susan demanda à Dudley de déménager, et ce dernier était d’accord pour mettre définitivement un terme au 4 Privet Drive et de déménager dans une ville semi-magique où les moldus comme sorciers vivent en harmonie mais également un endroit où Susan pourra enfin vivre de sa magie. Bien que Susan fût tombée amoureuse de cette petite ville de Godric’s Hollow, elle voulait un endroit où elle pourrait facilement avoir un jardin, une forêt à côté, leur choix se portant sur un village de Flagley-le-Haut près de Robin Hood’s bay. Daisy était contente de trouver les fleurs sauvages et de voir l’océan à perte de vue.
C’était par une matinée ensoleillée après que Dudley et Susan viennent de rentrer de leur promenade d’amoureux quotidienne qu’un hibou vient de toquer à la fenêtre de la chambre de Daisy. Une lettre de Poudlard. En septembre, elle irait enfin à Poudlard, mamie Susan lui à tellement parler de cette école qu’elle avait l’impression de la connaître par cœur et surtout dont la maison qui lui tient à cœur : Poufsouffle.
Le premier septembre à la voie 9¾ se tenait une petite fille de onze ans qui tenait fermement son étui à flûte traversière contre elle en jugeant du regard un peu ses futurs camarades. Elle avait promis à ses grands-parents qu’elle se ferait des amis bien qu’elle n’ait pas très envie de se sociabiliser. Dans le Poudlard Express, elle attend avant de trouver un compartiment vide mais sa paix n’a été qu’une courte durée, une jeune fille de son âge aussi rousse qu’elle rentra.

Par l’cul fripée de Merlin ! j’ai cru qu’c’était une de mes cousines tellement que tu l’ressembles !
…. Pardon ?
Elle leva un sourcil, n'aimant pas déjà sa façon de parler.
J’peux m’asseoir ? J’mapelle Ruby. Ruby Weasley et toi ?
Daisy Dursley.
Enchantée Dursley ! T’as d’la chance, tu as là d’vant toi, la future championne de Quidditch de Gryffondor !
Comment peux-tu être sûr d'être à Gryffondor ?
Ben ça va d’soi… Je suis née pour être en Gryffondor et toi, tu penses être dans quelle maison ?
Heu… Poufsouffle comme ma grand-mère.
C’est une maison cool, ça !
Oui.
Un gros malaise plane dans le compartiment et ça ne sera pas Daisy qui va continuer ou changer la conversation en tout cas, cette Ruby Weasley a changé de compartiment entre temps, voulant surement chercher d’autres futurs Gryffondor ou harceler le capitaine d’équipe pour la faire intégrer dès que possible bien qu’elle soit en première année. Lors de la répartition, elle n'a pas attendu trop longtemps pour être appeler, son nom de famille figure dans la première ordre alphabétique, elle n’avait à stresser longtemps. Bien que le Choixpeau hésite à la mettre à Poufsouffle et Serdaigle, elle a été mise chez les aigles.
Le soir, dans son dortoir après le dîner, elle appela ces grands-parents,  c’est Dudley qui avait décroché.
Alors, cette première journée ?
Très bien, c’est comme ce que mamie Susie raconte dans ses histoires de jeunesse, mais je suis chez les Serdaigle !
Oh, Serdaigle, hum, .. Il recouvre la main sur le téléphone et se retourne vers Susan et lui demande en chuchotant, Les Serdaigle c’est bien ?
C’est la maison des érudits. Mon oncle Edgar y était !
OH La maison des érudits !! Je suis fier de toi ! Mamie Susie aussi !
La vie à Poudlard se passe bien et sans incident. Elle fait la rencontre des gens qui deviendront ses amis et elle intègre avec un certain enthousiasme la chorale de l’école, et surtout, elle continue de rêver d’amour et de poésie.

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